Heureux l’homme !

Je veux marcher pour mon Seigneur
Sans me laisser influencer
Par les méchants, ni les moqueurs
Qui chercheraient à m’arrêter.

Mon grand plaisir est dans sa loi
Je la médite jour et nuit
Car par elle je nourris ma foi
Qui me donne de porter du fruit.

Je suis comme un arbre planté
Au plus proche d’un courant d’eau
Ne souffrant point pendant l’été
Parce que Dieu est mon ruisseau.

Qu’adviendra-t-il du négligeant,
Du dédaigneux ou du railleur ?
Lorsque viendra le jugement
Qui sera leur conciliateur ?

Deux chemins nous sont proposés !
Et c’est à nous de bien choisir
Car il ne faut pas se tromper
Prenons le temps de réfléchir !

Je suis heureux d’avoir choisi
Le chemin qui mène au salut !
Et maintenant en Jésus-Christ
Je sais que je suis reconnu.

Lecture : Psaume 1 v 1 : Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur le voie des pécheurs, et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Éternel, et qui la médite jour et nuit !

Ce Psaume présente la vie comme deux chemins qui se dessinent à nous, et nous placent ainsi devant un choix ; celui-ci déterminera notre destinée future.
Il y a comme une progression dans le cheminement de celui qui se laisserait séduire : Il y a la marche sur la voie du pécheur, puis le verbe arrêter et ensuite, celui de s’asseoir.
Prenons-garde à ne pas marcher sur un chemin étranger à la volonté de Dieu.
Ne nous arrêtons pas dans notre marche chrétienne, mais poursuivons sans nous laisser séduire par l’adversaire.
Ne nous mettons pas en compagnie de tous ceux qui pourraient influencer notre vie et nos décisions ; ne nous assoyons pas à leur table, pour partager le compromis !
Vivons ce Psaume, en choisissant la voie du Seigneur, en nous appuyant sur sa Parole et nous porterons du fruit, même au plus fort des épreuves, comme le souligne également le prophète Jérémie : « Béni soit l’homme qui se confie dans l’Éternel, et dont l’Éternel est l’espérance ! Il est comme un arbre planté près des eaux, et qui étend ses racines vers le courant ; il n’aperçoit point la chaleur quand elle vient, et son feuillage reste vert ; dans l’année de la sécheresse, il n’a point de crainte, et il ne cesse de porter du fruit » (Jérémie 17 v 7/8).

1 commentaire

  • MUBILI GBAZU KALAKELE Jérémie-grâce

    8 juin 2018

    Que Dieu votre excellent inspirateur vous bénisse des bénédictions sans chagrins. Gloire au Seigneur des seigneurs

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