Renverse les forteresses !

Ô ! Ville fortifiée, aux puissantes murailles !
Les hommes ont échoué, en te livrant batailles
Tu te ris des armées, comme d’un fétu de paille
Car depuis tant d’années, devant toi tous défaillent.

Tes portes renforcées, assurent ta protection
Les barres et les verrous, annulent toute intrusion
Elle est imprenable ! Se disent les nations
Sa silhouette dressée, ne donne guère d’illusions !

Un peuple t’a vaincue, marchant au nom de Dieu !
Sonnaient de la trompette, des hommes valeureux
En confessant le nom, du grand Maître des cieux
Tes murailles sont tombées, devant tous ces Hébreux.

Ne crains pas l’adversaire, confesse le Tout-Puissant !
Ce récit est pour toi, n’es-tu pas son enfant ?
Renverse les forteresses ! Et fais-le maintenant !
Le nom de Jésus-Christ t’assure d’être gagnant.

Lectures : Josué 6 v 2 et 2 Corinthiens 10 v 4 :

Jéricho était fermée et barricadée devant les enfants d’Israël. Personne ne sortait et personne n’entrait.
Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses.

Que de « Jéricho », se dressent devant nous ! Des situations impossibles à vue humaine, par diverses épreuves, qui nous arrêtent dans notre marche avec Dieu. Elles semblent nous défier, à l’image de cette forteresse, nous impressionnant par l’ampleur des difficultés. Mais ce serait sans compter sur Dieu et sur ses promesses qui nous exhortent à confesser la victoire, même quand tout semble perdu.
Pour l’enfant de Dieu, le mot impossible est à proscrire de son vocabulaire, puisque Jésus-Christ lui-même nous l’a enseigné : « Jésus lui dit : Si tu peux !...Tout est possible à celui qui croit » (Marc 9 v 23).
Cette réponse est donnée à un homme qui demandait à Jésus s’il pouvait quelque chose pour son fils tenu par des puissances démoniaques.
C’est bien la foi qui a ébranlé cette forteresse de Jéricho, comme nous le rappelle le livre de Hébreux : « C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu’on en eut fait le tour pendant sept jours » (Hébreux 11 v 30).
Est-ce cette histoire de l’Ancien Testament qui poussa Paul à dire, et à confesser que le croyant renverse les forteresses qui s’opposent à lui au nom de Jésus ? (2 Corinthien 10 v 4).
Paul a rencontré souvent des « Jéricho », et écrivant aux chrétiens de Rome, il disait : « Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ?... » Mais Paul renverse ces forteresses en confessant : « Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés » (Romains 8 v 35/37).

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