Juin ! Rallonge les jours, par plus de lumière !
Un grand pas vers l’été, ô ! Qu’il est loin l’hiver !
Inondés de couleurs, nos jardins s’allument
Nous laissant admirer, les fleurs qui parfument.

Jésus me fait vivre, la plus belle des saisons
Univers de beauté, éclats de compassion
Impact sur ma vie, explosions de saveurs
Nul n’est comparable, à mon divin Sauveur.

Jésus est mon soleil, ma clarté, ma lueur
Un astre lumineux, aux rayons bienfaiteurs
Indicible grâce, au parfum de l’amour
Nuit et jour près de moi, me protège toujours.

Joins, foi et prière, garde toujours l’espoir
Une page à écrire, une nouvelle histoire
Inscrite dans les cieux, et vécue sur la terre
Ne cherche pas ailleurs, qu’à la croix du calvaire.

Lecture : Malachie 4 v 2 :

Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le soleil de la justice, et la guérison sera sous ses ailes.

Le mois de juin est un des mois les plus agréables, par ses jours qui ne cessent de s’allonger. La clarté est frappante et nous fait oublier tous ces mois sombres et pluvieux que nous avons connus pendant la période hivernale.
Ce mois voit les arbres s’habiller de vert, les prairies se couvrir de fleurs, et toute la végétation se transformer ! C’est la vie qui triomphe !
Avant de connaître Jésus-Christ ma vie était ponctuée de jours sombres et sans espoir ; le froid du doute et de l’insatisfaction frappaient à la porte de mon cœur, jusqu’au jour de la belle saison, où le soleil de la grâce divine est venue sur ma vie ; le jour où j’ai rencontré le salut par grâce et avec la paix dans mon cœur.
Depuis ce jour, la lumière de Christ et sa parole me guident sur le chemin de ma vie ; celle-ci n’est plus triste, mais traversée par la chaleur de la présence de Dieu. Et même si parfois l’orage de l’épreuve s’abat sur moi, je peux me réfugier en lui, et attendre la lueur de l’exaucement qui apparaît selon sa promesse et sa volonté, car le Seigneur n’abandonne jamais ses enfants comme le dit cette parole du prophète Ésaïe : « Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles ? Quand elle l’oublierait, moi je ne t’oublierai point » (Ésaïe 49 v 15).

1 commentaire

  • Paul EMILY

    1er juin 2019

    Bravo et félicitations
    que le Seigneur vous bénisse aujourd’hui,
    et tous les jours de votre vie !
    Paul EMILY

Laisser un commentaire

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Ce formulaire accepte les raccourcis SPIP [->url] {{gras}} {italique} <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.