Je suis confiant !

Que sera l’avenir ?
Le temps me le dira !
Je n’ai pas en souffrir
Car mon Dieu sera là !

Je ne crains pas demain
Ni ses incertitudes
Il me tiendra la main
C’est une certitude !

Si je dois attendre
Que vienne l’exaucement
Dans ses bras si tendres
J’attendrai calmement.

L’ennemi peut rugir
Rôder comme un lion
Je laisse Dieu agir,
Moi je bénis son Nom !

Je vis ce jour béni
Sans peur du lendemain
Mes yeux fixés sur lui,
Pour suivre mon chemin.

Il sait tout de ma vie !
Ô ! Pourquoi m’inquiéter ?
Son Esprit me conduit
Pour ma tranquillité !

Je marcherai confiant
Pas à pas en Jésus
Toujours reconnaissant
Du merveilleux salut !

Lecture : Psaume 131 v 2 :

J’ai l’âme calme et tranquille, comme un enfant sevré qui est auprès de sa mère ; j’ai l’âme comme un enfant sevré.

Dans un monde en turbulence, l’enfant de Dieu n’est pas épargné par les épreuves, mais il sait que son Père céleste veille sur lui. Comme nous vivons dans ce monde, il nous arrive d’être entraînés par les courants de l’inquiétude et de laisser la porte du doute s’entrouvrir, ce qui ne fait que nous affaiblir spirituellement.
Nous devons réaliser que nous sommes maintenant des gens de la maison de Dieu, nous assurant de sa protection et de ses provisions de grâces et de bénédictions.
Il est bon de repasser les paroles de Jésus, et de réaliser qu’elles nous sont adressées à chacun en particulier : « Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas : Que mangerons-nous ? Que boirons-nous ? De quoi serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin » (Matthieu 6 v 31/32).
Et ce que Jésus nous demande, c’est de lui faire confiance, mais que nous, nous devons rechercher premièrement le royaume et la justice de Dieu, pour conclure : « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine » (33/34).
Et David l’exprime cette entière confiance qu’il a en son Dieu, dont il parle comme son berger : « L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien…Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent » (Psaume 23).
Imprégnons-nous de ce Psaume, et confessons-le chaque jour ! Mais surtout quand l’épreuve de la vallée de l’ombre de la mort nous encercle.

1 commentaire

  • Guerrier job.

    29 juin 2019

    Ces pœmes sont radieux, vous devez continuer ainsi car Dieu est gracieux

Laisser un commentaire

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Ce formulaire accepte les raccourcis SPIP [->url] {{gras}} {italique} <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.