Ma vie pour toi Seigneur !

Ma vie pour toi Seigneur
Peu importe le temps
Te bénir à chaque heure
Car je suis ton enfant.

Ma vie pour toi Seigneur
Il approche le temps
Et bientôt viendra l’heure
D’enlever tes enfants.

Ma vie pour toi Seigneur
Non ! Ce n’est plus le temps !
De gaspiller nos heures
Comme d’indignes enfants.

Ma vie pour toi Seigneur
C’est maintenant le temps
D’investir nos heures
Et chercher tes enfants.

Ma vie pour toi Seigneur
Je veux passer du temps
Ne pas compter mes heures
Fier d’être ton enfant !

Merci à toi Seigneur
Tu es Maître du temps
Et fidèle à chaque heure
Envers moi ton enfant.

Merci à toi Seigneur
Ô ! Que j’aime ces temps
Où je passe des heures
Dans la paix de l’enfant.

Lecture : Galates 2 v 20 :

J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ;…

Une vie désormais consacrée à Christ et à son œuvre ! Ainsi l’apôtre Paul décrivait sa propre vie. Le disait-il que pour lui ? Non ! Il nous rappelait que nous aussi étions appelés à la même vie : « C’est Christ qui vit en moi ».
Dans ce poème j’ai voulu en chaque début de strophe, marteler cette appartenance au Seigneur et montrer par les répétions de ces quatre mots : Seigneur, temps, heures et enfant  ; notre étroite relation avec Christ, en tant qu’enfant de Dieu : « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes » (1 Jean 3 v 1).
Le temps, qui s’écoule, qui avance, nous surprend parfois, captivant ou détournant notre attention de l’indispensable intérêt que nous devons porter à l’œuvre de Dieu : « Rachetez le temps, car les jours sont mauvais » (Éphésiens 5 v 16).
L’heure ou les heures, nous interpellent sur notre faculté à gérer nos activités et nous appellent à la consécration, à la prière : « Et il vint vers les disciples, qu’il trouva endormis, et il dit à Pierre : Vous n’avez donc pu veillez une heure avec moi ! Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation ; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible » (Matthieu 26 v 40/41).
Et j’ai voulu terminer ce poème par un grand merci au Seigneur, qui est si patient et plein d’amour pour nous ses enfants.
Réalisons, que nous sommes des privilégiés, nous sommes enfants de Dieu ! Servons notre Père et marchons comme ses enfants, dignes de porter son nom et les valeurs de l’Évangile.

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