une vie pour Dieu !

Pousse des cris de joie, Jésus-Christ t’a sauvé
Dès le matin loue-le et viens le remercier
Ton Sauveur est puissant, il tient tout dans sa main
La terre comme la mer, oui tout lui appartient.

N’est-il pas ton berger, celui qui te conduit ?
Sois docile et confiant et attends-toi à lui
Ô ! Écoute sa voix, n’endurcis pas ton cœur !
Mais fléchis le genou, devant ton Créateur.

Il te parle en ce jour, sauras-tu l’écouter ?
Recherche par ta vie, à faire sa volonté
Souviens-toi de tous ceux, qui tombèrent au désert
Ne les imite pas, car ce serait mal faire.

Ta vie doit raconter, ta rencontre avec Dieu
Comment il t’a changé, pourquoi tu es heureux
Tu es ambassadeur, envoyé par le Père
Témoin de son amour, révélé au calvaire.

Car chacun doit savoir, que Christ est mort pour lui
Que par son sacrifice, il a tout accompli
Il a payé le prix, accordant le salut
Le péché et la mort sont à jamais vaincus.

Lecture : Psaume 95 v 1- 2 : « Venez, chantons avec allégresse à l’Éternel ! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut. Allons au-devant de lui avec des louanges, faisons retentir des cantiques en son honneur ! ».

Ce Psaume appel à la louange et à la reconnaissance. Il retrace l’histoire mouvementée de son peuple, souvent rebelle à la volonté de Dieu, qui a usé tellement de patience envers les enfants d’Israël.
Le psalmiste nous le présente ainsi.

1) « Il tient dans sa main les profondeurs de la terre ».

Il contrôle et domine la terre ; ce qui est profond ou haut, nous rappelant que pour les situations extrêmes, il possède la force et l’autorité pour les maîtriser. Nous les enfants de Dieu, n’avons rien à craindre quand l’épreuve nous abaisse dans les profondeurs de la souffrance ou quand s’élève devant nous des murailles hautes et redoutables.
« Il nous tient dans sa main, parce que nous sommes à lui ».

2) « La terre aussi, ses mains l’ont formée ».

Nous avons été recréés en Jésus-Christ par l’œuvre de à la croix du calvaire. Il nous a formés pour une vie nouvelle qui désormais lui appartient. Laissons ses mains nous façonner encore, comme l’argile entre les mains du potier. La suite de la lecture invite chaque croyant à se prosterner devant son Créateur. Quelle grâce pour l’enfant de Dieu de s’appuyer sur ses mains puissantes qui le transforment et le protègent.

3) « Le troupeau que sa main conduit ».

Ce verset nous ramène au Psaume 23et dans l’Évangile de Jean, pour nous affirmer et nous rassurer, car il est le bon berger ; laissons-le nous conduire, écoutons sa voix et plaçons notre faible main dans la sienne qui est toute puissante.